Souvenirs d’un repas au Lucas Carton avec SD ou Julien Dumas à encore envoyé du bois. Un vrai travail d’équilibriste, cuisine épurée, sans chichi qui va à l’essentiel.
Content que cette maison ressorte de l’ombre grace à son travail. (Juin 2015)
Souvenirs d’un repas au Lucas Carton avec SD ou Julien Dumas à encore envoyé du bois. Un vrai travail d’équilibriste, cuisine épurée, sans chichi qui va à l’essentiel.
Content que cette maison ressorte de l’ombre grace à son travail. (Juin 2015)
Suspendu entre ciel et terre cette réserve à été confiée à l’architecte Jean-Michel Wilmotte qui l’a harmonieusement intégré à son environnement. Coté cuisine, c’est Eric Canino, ancien de Michel Guérard qui officie. Il y propose, une cuisine bien être ou beurre et crème sont proscrits.
La cuisine y est légère, gourmande sans oublier d’être généreuse.
Le plus : la terrasse pour profiter de la vue
Début de ce #foodtrip par La Villa Madie de Dimitri Marielle Droisneau.
La Villa Madie fait partie de ces tables incontournables de la Côte d’Azur. Incontournable pour sa vue à 180° sur la baie de Cassis, mais surtout pour la cuisine proposée par Dimitri.
Un an après mon dernier passage, la maison à pris en assurance, Dimitri et Mareille se sont appropriés le lieu en repensant entièrement la salle du restaurant.
Une cuisine sur des bases classiques parfaitement réalisée, des produits, des jus qui changent de cette cuisine d’éprouvette ou de tapas.
Un service un petit oignon et une très belle cave.
Alors si vous êtes de passage dans la région cet été, vous pouvez déjà réserver votre table et vous laisser guider.
Cela faisait plus d’un an que je n’étais pas revenu goûter la cuisine de Christophe Bacquie et en un an il s’en est passé des choses dans cette petite maison provençale. Pour commencer la salle a entièrement été repensée, plus lumineuse, plus aérée, plus pure. Côté cuisine on gagné en maturité, plus épurée, plus directe, plus sereine.
Christophe a donc passé ce cap que nous avions évoqué lors de notre rencontre et propose une cuisine décomplexée, une cuisine qui vous marque. Sans oublier le très grand service en salle et la très belle sélection de vins de Romain Ambrosi. Vous l’aurez compris, Christophe Bacquié vient de confirmer qu’il était parmi les chefs à suivre de près.
L’appel de la Marine
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre fini sur l’infini des mers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir : coeurs légers semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Merci Mr Couillon Alexandre pour ce grand voyage, que cette Marine est GRANDE…
Réservation faite le vendredi 28 novembre au déjeuner direction le Restaurant Le Cinq où le chef trois étoiles, Christian Le Squer, vient de prendre la tête de la brigade depuis tout juste un mois.
Alors, ca donne quoi ?
Niveau salle:
Sans doute ce qu’il se fait de mieux en terme d’accueil et de service, avec une équipe dirigée par le subtil Eric Beaumard
Niveau cuisine:
Nous avons opté pour la formule déjeuner à 6 plats. Il y est proposé des plats gourmands, généreux, à la fois esthétiques, élégants qui s’inspirent de l’air du temps; Les techniques utilisées entraînant certaines redites par l’utilisation de texturants.
Ce que je retiendrai de ce repas, c’est une grosse gifle sur cette soupe d’oignon, une mention spéciale pour ce pigeon de Racan et un gros WOWwww pour ce dessert à la levure.
En un mois, on ne peut que saluer ce tour de force d’avoir su imposer son style.
RESTAURANT LE CINQ
31 AVENUE GEORGE V 75008 PARIS, FRANCE
TÉL : +33 (1) 49 52 71 54 FAX : +33 (1) 49 52 71 81
Il y a des tables dont je ne me lasse pas, le Lucas Carton Paris est l’une d’entre elles, une cuisine en constante évolution. Et il faut croire que je ne me trompe pas le guide Gault&Millau vient de décerner à Julien Dumas le titre de grand de demain dans son édition 2015.
Aroun Tanovan est laotien, quel rapport avec le Japon me direz-vous ? Eh bien c’est que l’homme a eu plusieurs vies qui l’ont mené au Japon avant de poser ses valises à Paris, étant jusqu’il y a encore peu le chef de Yoghi Yamamoto.
Devant nous Aroun coupe, tranche, rie, parle – l’homme n’est pas très farouche- sa dextérité fait mouche, ça vole dans tous les sens, et les assiettes assemblées à vitesse grand V commencent à éveiller les nôtres !
Chez Icho on ne vient pas vraiment pour savoir à l’avance ce qu’on va manger, certes on peut commander les traditionnels sushis au thon ou au saumon mais au fond pour quoi faire ?
L’idée c’est ici de laisser faire Aroun au gré de son caractère (et Dieu sait qu’il n’en manque pas !), car au fond il fait ce qu’il veut et s’en amuse, et de se laisser guider : du cru, des makis aux crevettes frites, des sashimis avec des assaisonnements subtilement relevés, tiens de l’oursin ? Pour les plus curieux des californiens de saumon à la fraise (on passera sur la saisonnalité, je vois déjà les commentaires, disons que l’association fonctionne bien) ; On peut aussi s’attaquer les légumes (de saison pour le coup !) en version tempura, délicats petits beignets traditionnels du pays du soleil levant.
On pique, on repique, les poissons sont superbes, Aroun met de l’ambiance ; en clair, on passe un bon moment et tient ! On va même être à l’heure à la séance du MK2 Bastille !
Ah oui on allait presque oublier de vous dire que chez Icho il y avait une carte des vins, une vraie et pas des moindres car élaborée par Thierry Desseauve, du tandem des Papes de la presse du vin.
Le conseil : Izakaya ça veut dire Bar, donc essayez de manger au bar pour échanger avec le chef, vous ne serez pas déçu et son rire raisonnera encore quelques heures dans votre tête
On a aimé parce que c’est simple efficace, sans prétention, c’est même bon et surtout, le chef est très attachant ! La combinaison gagnante du chouette restau de quartier et mine de rien ce n’est pas toujours facile à trouver…
Alors n’attendez plus go go go chez Icho !
Ils en parlent : François Simon, FRG,