Radio Casseroles

Attention Charles-Henri Orliac blagueur influent

18 septembre 2012

Il y a quelques mois, on m’a demandé si je connaissais Charles-Henri Orliac l’auteur d’un blog professionnel « L’Instant-Resto » le premier blog Français, et deuxième Européen, en outre sélectionné par le Libéfood d’après son auteur. Après avoir regardé sur les différents médias sociaux, je me suis rendu compte qu’il n’avait aucune communauté et surtout qu’il n’alimentait son blog et sa page facebook que de manière occasionnelle (sans doute au grès de ses invitations).
J’ai donc conseillé de ne pas donner suite et de répondre dans ce sens. Mais l’affaire ne s’arrête pas la hier on me remonte sur Facebook une nouvelle affaire Orliac en publiant sur mon compte Facebook une correspondance entre David Rathgeber chef du restaurant l’Assiette à Paris et Mr Orliac. Je vous laisse prendre connaissance de cet échange assez surréaliste :

Voici ce la réponse que j’ ai eu d’ un blogueur se prétendant chroniqueur gastronomique lorsque après une tentative d’ approche, je lui ai répondu que je n’ étais pas d’ accord avec ses principes ” d’ équité ” . qui consistaient à venir manger en famille dans mon restaurant, gratuitement bien entendu en échange d’ un article que ni lui, ni l’ article, je n’ ai sollicité d’ une quelconque manière que se soit.

L’ Approche du Blogueur:

Cher Monsieur,

Comme suite à l’entretien téléphonique que nous avons eu hier, s’agissant de la faisabilité d’un déjeuner-test pour trois convives en votre établissement le « Restaurant L’Assiette », je puis bien vous confirmer, tel que vous l’avez souhaité, qu’il donnera lieu, en contrepartie, à un article rédigé par mes soins uniquement en fonction du « ressenti », et du « vécu » à paraître, peu après, sur mon blog de chroniqueur l’Instant Resto, et ce durant toute l’année (actuellement premier blog gastronomique Français et deuxième Européen, en outre sélectionné par Libéfood),

Je vous remercie, donc, de bien vouloir en retour, me confirmer, si vous étiez d’accord le principe, et m’adresser l’invitation pour trois convives pour la fin de cette semaine (par exemple le samedi 15 Septembre), au moment du déjeuner, et prévoir, par la même occasion, de m’adresser, sur mon mail, les photos correspondantes à votre établissement, ou, alors, de me les remettre sur clé U.S.B lors de notre venue.

Vous remerciant, par avance, de l’attention que vous m’aurez accordée, je vous prie d’accepter, cher Monsieur, dans cette attente, mes respectueuses salutations.

Charles-Henri Orliac

Chroniqueur « appréciateur » gastronomique et hôtelier

Ma réponse :

Cher Monsieur ,
Merci de l’intérêt que vous portez à mon restaurant.
Mais voilà je ne fonctionne pas de cette façon .
Je suis Artisan je travaille dur plus 80 h par semaine et 5 employés , j’achète des produits de très bonne qualité les fournisseurs ne m’offre rien j’ai un loyer un crédit et des charges énorme .
Tous les journalistes qui viennent chez moi paient leur addition .
Je ne suis ni le shangrilla ,le royal monceau
Ect ect ect .
C’est toujours plus facile quand c’est l’argent des autres.
Mettez vous a la place d’un jeune Chef d’entreprise qui de plus est à une famille à nourrir .
Je n’apprécie guère votre démarche que je qualifie de goujaterie .

Donc voilà je décline votre proposition

Cordialement .

David Rathgeber
Restaurant L’ Assiette
181, rue du Château
75014 Paris
www.restaurant-lassiette.com

Sa Réponse :
Monsieur,
Je pense qu’en matière de goujaterie vous êtes un phénix !
Oser venir me faire l’apologie de votre dur labeur, et vous afficher tel un « martyr » de la gastronomie, ou une « victime » de l’art culinaire, en me jetant à la figure le nombre d’heures passées à « servir », et satisfaire, votre clientèle (c’est, là, la moindre des choses pour un chef, ou alors on parle de « malbouffe » !), m’apparait pour le moins déplacé, voire totalement inacceptable pour un chef digne de respect !
Sachez que je « teste » environ 350 tables l’an, et que, jamais au grand jamais, je n’ai eu à enregistrer ce genre de fadaises !
Des chefs avec lesquels je me serais vertement expliqué, certes, il en a eu !
Mais un chef, un « vrai », qui viendrait tenter de me culpabiliser tout simplement parce que je l’aurais « extirpé » de son traintrain quotidien, et que je lui aurais proposé (ô sacrilège !) de procéder selon une certaine équité, est-ce à dire, ce que je pratique à longueur d’année (hôtels et restaurants inclus), la gratuité des services apportés par chacun des intervenants, celui-là même ne mérite pas mon attention !
Vous n’avez rien compris à ma démarche qui consiste à ce que chef, comme chroniqueur, fournissent le meilleur d’eux-mêmes sans qu’il fut, le moins du monde, question de rémunération !
L’équité, vous dis-je, et rien que l’équité !
On aurait tendance à envisager, à vous lire, que vous seriez le seul à travailler et à « peaufiner » la quête d’une (relative) perfection !
Je me moque royalement que des journalistes (les imbéciles !) viennent chez vous rémunérer une prestation, et vous offrir, de surcroît, gracieusement, le fruit de leur travail, dés lors que vous n’auriez, de votre côté, pas le moindre respect quant à leur rédaction !
A vous « entendre », il suffirait de payer pour avoir l’autorité de vous critiquer !
Eh bien, sachez que je n’aurais nul nécessité à venir, tel que vous l’imagineriez, « profiter » de votre créativité (j’ose espérer, au moins, qu’elle existe) dans un contexte de gratuité, et d’équité, car votre personnalité, et votre stupidité, m’en auraient largement découragé !
Vous n’avez pas apprécié (ni, compris d’ailleurs) ma démarche, et, de mon côté, je vous découvre pathétique, si ce n’est consternant de cupidité !
« Petit » vous êtes, « petit » vous resterez !
J’ai l’honneur de ne pas vous saluer !
Charles-Henri Orliac
Chroniqueur « appréciateur » gastronomique et hôtelier

——————————–

Et au fil des échanges sur Facebook, j’ai pu récolter d’autres témoignages de professionnels ayant été approchés par Mr Orliac.

Une question se pose, comment Mr Orliac réagit il si l’hôtelier refuse ses services , va t il jusqu’a déposer des avis négatifs sur les différents sites qui ne controlent pas les avis  : Michelin / Tripadvisor

Bruno Verjus en parle ce jour sur son blog

Madame,
Je dois avouer être assez consterné par votre façon de procéder d’autant que je vous avais contacté le 5 juin dernier dans le cadre d’un « échange de service », article contre séjour, qui ne prêtait à aucune confusion !
Je procède, toujours, très clairement avec mes interlocuteurs hôteliers, comme restaurateurs, en précisant bien, préalablement, que ma requête est assortie de deux conditions, la première que le séjour soit fixé à quatre nuitées, et la seconde que nous soyons trois convives, en l’occurrence une famille qui, comme de nombreuses autres, serait à même de ressentir, et de « vivre » un séjour de manière à pouvoir restituer l’ensemble de « nos » perceptions au sein d’un article ludique, et surtout conforme à la réalité des faits.
Ce modus operandi m’appartient, et n’a aucune raison d’être contesté voire, pis encore, brocardé.
Dés réception de mon mail du 27 Juin, vous vous seriez, lors d’un entretien téléphonique qui le suivait, déjà offusquée de cet état de fait, affirmant que je ne vous en avais parlé, dés lors, que cela est quasiment impossible puisque je le stipule lors de tout contact hôtelier.
J’ai, je dois l’avouer, choisi d’« arrondir les angles », et de ne pas entamer avec vous une polémique inutile.
Peu après, c’est sur la surface de la suite (35 m²), et sa capacité à recevoir trois personnes, que vous vous seriez focalisée vainement, tentant par là, peu être bien, de me décourager !
Drôle d’entrée en matière, vous avouerez !
Ainsi, c’est à 17h39, en ce 27 Juin, que je recevais, non sans « difficultés », un mail de confirmation précisant que vous alliez rajouter un lit supplémentaire, et, comme un « cheveux sur la soupe », de me préciser que votre sommelière serait ravie de me rencontrer les 18 ou 19 juillet ! (sic)
Pensant, sincèrement, qu’il devait s’agir d’une erreur (je parle là de la sommelière), j’avais la correction de recontacter votre collaboratrice pour m’étonner de cette précision, et apprenait, ainsi, qu’un bar à vins faisait partie intégrante de votre hôtel, ce que j’ignorais totalement, et ce d’autant mieux que vous ne m’en aviez, absolument, dit mot.
Quelques minutes plus tard, je percevais un appel de votre part assez désagréable au demeurant, et de me voir reprocher, non sans rire, que j’aurais du être au courant, et que, finalement, il était totalement logique que l’article soit prévu, et orienté, sur cette activité, le titre, Vins & Gastronomie, à lui seul, obligeant !
Là, je dois avouer, avoir failli mettre un brutal coup d’arrêt à toute collaboration.
Mais, dans un esprit de relative conciliation, ai-je préféré, une fois de plus, ne pas polémiquer !
Or, bien mal m’en aurait pris, puisqu’à 18h59 je voyais arriver un nouveau mail me précisant, cette fois-ci, que les extras seraient à ma charge, et qu’il me faudrait prévoir une carte bancaire pour en garantir le paiement !
A cet instant, ma décision était prise, il n’était plus question que je séjourne en votre établissement, et que je rédige le moindre article le concernant !
J’en informais, immédiatement, votre collaboratrice qui se voyait, véritablement, très gênée de cette décision, et qui tentait de me dissuader de la maintenir, proposant même sa « médiation » et de me recontacter le lendemain pour me tenir informé.
Uniquement par rapport à ce geste estimable ai-je accepté son intervention auprès de vous, je tiens à le préciser !
En ce qui me concerne, ma décision était prise, il n’était pas question que je collabore de quelque manière que ce soit, et dans ces conditions, avec vous.
Or, à 20h37, comme si cela ne suffisait pas à ternir votre approche d’un chroniqueur, vous mandatiez votre collaboratrice, une ultime fois, tentant d’inverser la tendance en « rompant », soit disant de votre seule initiative, notre accord ! (re-sic)
Jusqu’à preuve du contraire, chère Madame, c’est moi qui ait décidé de ne donner aucune suite favorable à votre accord de séjour, et non l’inverse !
Je suis encore, jusqu’à preuve du contraire, « maître » de mes rédactions, et du bien-fondé de leur publication !
Je demeure, cependant, navré de la tournure que vous avez imposé, de facto, à cette possible collaboration, et ne puis que le déplorer.
Recevez, Madame, malgré tout, mes salutations.
Charles-Henri Orliac
Chroniqueur « appréciateur » gastronomique et hôtelier
Vins & Gastronomie

Pour information: son fils s’occupe de la partie informatique de son site, la aussi c’est une blague, car le site est hebergé chez blogspot.com qui est une plateforme communautaire et il utulise un template de base.

Nous sommes donc en présence d’une personne qui a bien compris qu’il pouvait profiter d’un système en s’inventant un univers médiatique. Vous ne pourrez pas dire on ne savait pas…

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30 Comments

  • Reply Sborgna 18 septembre 2012 at 15 h 06 min

    Horrible, on dirait une critique gastro classique des années 50 à laquelle henris gault et christian millau ont foutu un grand coup de pied au cul tellement ça sert a rien ce style fadasse et ampoulé…

  • Reply Nicolas de Rouyn 18 septembre 2012 at 15 h 07 min

    Vu sur Twitter ce film YouTube. Un coup de fil piège entre un journaliste et Orliac. Édifiant: http://www.youtube.com/watch?v=OJ3KM2Qqvo4&feature=youtu.be&a

  • Reply Vincent Pousson 18 septembre 2012 at 15 h 07 min

    Oui, il faut l’écouter, c’est bonnard…

  • Reply Vincent Pousson 18 septembre 2012 at 15 h 07 min

    En fait, quand on l’écoute, il est pas perché du tout. C’est juste un petit bandit ordinaire

  • Reply Nicolas de Rouyn 18 septembre 2012 at 15 h 08 min

    Émilie, si comme tu le dis, les pros de la restauration et de l’hotellerie n’étaient pas si naïfs, l’e****** de bac à sable n’existerait pas du tout et on ne serait pas en train de nous émouvoir de ses méthodes de voyou.

  • Reply Marc Neeloff 18 septembre 2012 at 15 h 13 min

    Disons-le tout net : ce mec est totalement frappadingue !!!!! Y a des dangereux, y a des inutiles, y a des bons, mais lui, il est hors catégorie. Un champion, un cas (que j’espère) unique ! Il lui faut une médaille… Trouvons-lui une médaille à ce mec et assurons-lui une haie d’honneur avec tous les hôteliers et restaurateurs floués….

  • Reply Alain Neyman 18 septembre 2012 at 15 h 14 min

    On va quand même voter pour son blog au concours GOLDEN BLOG AWARDS ? imaginez un moment qu’il gagne le concours ! quelle entrée triomphante dans les restaurants et hôtels … MDR

  • Reply cartemere 19 septembre 2012 at 5 h 03 min

    Ca c’est un bel e****** ce Charles-Henri Orliac 😀

    J’aime beaucoup l’approche, et le fait de jouer l’offusqué quand on lui refuse une table gratos (et puis quoi encore ? 😀 )
    Ca fait très scam nigérien dans l’approche…

    Le Michael Vendetta de la critique gastronomique 😆

  • Reply Dugomo 19 septembre 2012 at 6 h 26 min

    Bonjour, je suis blogueur influent.
    Je vous contacte pour baiser votre femme. Si elle est bonne, je ferai un article.

  • Reply Emmanuel Delmas 19 septembre 2012 at 8 h 27 min

    Il a eu son heure de gloire hier sur son blog…;-)
    Je connais très bien David Rathgeber puisque nous avions travaillé ensemble chez Ducasse voilà 10 ans. J’ai déjeuné l’an dernier et passé le voir Samedi soir d’ailleurs avec Caroline. Sa cuisine est remarquable, l’homme simple et d’une grande gentillesse…

    Et ce blogueur qui n’est strictement pas influent car invisible me fait penser à un rigolo oeuvrant dans le vin éditant un guide nullement lu, qui est la risée de notre microcosme. Mais il existe, e***** et en vit…et nous on s’en moque. Après tout, les bouffons sont parfois des gens d’agréable compagnie.

  • Reply davia 19 septembre 2012 at 8 h 34 min

    Ce type est tout simplement un e*****, qui se la joue aristo mais qui n’a pas un radis pour faire bouffer sa famille. C’est un pauvre type pathétique. Je l’ai viré de mon restaurant à Avignon. Contre un billet dans son blog pourri qui n’est lu par personne, il fallait que je l’invite lui, sa femme et son mioche boutonneux. Malheureusement, des restaurateurs de mon quartier se sont fait avoir. Il faut diffuser largement son nom et ses méthodes pour qu’il se fasse virer comme un malpropre des établissements.

  • Reply Mathias 19 septembre 2012 at 8 h 48 min

    Ce bloggeur est un véritable tocard. Honte à lui !
    En plus son blog n’a aucun intérêt… C’est ce que j’appelle un gros bouffon. Franchement, je pense qu’il ne vaut mieux pas figurer sur son blog. En plus il ne connais même pas food intelligence et Bruno Verjus, qui lui, est une véritable référence du genre.

    Anyway, Charles-Henrie = maxi tocard, maxi arrogant !

  • Reply Fabrice 19 septembre 2012 at 9 h 07 min

    Excellent, on dirait un mendiant! ça doit être fatiguant à force.
    Sinon, jamais entendu parlé de lui ou de son blog (pourtant j’en lis…).

  • Reply Tit' 19 septembre 2012 at 9 h 26 min

    Mais qui était donc ce mystérieux journaliste qui interviewait Monsieur CHO ? Hummm… Tintintin ! Mystère… ^^

  • Reply david 19 septembre 2012 at 15 h 32 min

    @davia Quel restaurant ? je connais bien avignon ^^

  • Reply Nadja 19 septembre 2012 at 17 h 09 min

    C’ est un dingue ce mec, c’ est clair ! Il n’ y a plus rien à faire . IR RE CU PE RA BLE !

  • Reply Lavande 21 septembre 2012 at 3 h 12 min

    mouarfff ! des blogueurs resquilleurs j’en ai tous les jours sur la cook-shop.fr. Enfin j’en avais… ça s’est calmé depuis que j’ai mis un petit mot agréable à leur attention (les curieux iront voir)
    le nombre colis gratos qu’on m’a demandé en échange d’articles, c’est juste dingue. Et pourtant quand je vois le nombre de “partenaires” affichés sur ces blogs je me dis qu’il y a des e-commerce aussi naïfs que ces restaurateurs. Les quémandeurs ont encore de beaux jours devant eux !

  • Reply carl 22 septembre 2012 at 13 h 06 min

    Dire que ce genre de personnage…Existe encore, de nos jours !!!!!!!!!!!

    Monsieur, sa femme et le gosse…

    Ces gens là, Il faut les sevrer (à vie !) au bol de céréale marque « Leader Price », matin, midi et soir, avec de la chicorée bas de gamme, du saindoux sur des toasts calcinés….
    Après chacun de ces repas, Ce monsieur machin…Chroniqueur « appréciateur » gastronomique et hôtelier, a l’obligation de se fendre d’une critique gastronomique de deux pages, comme il sait parfaitement les faire…

    En tout cas Bravo à vous, Monsieur le Bloggeur (Stéphane !) pour ce très beau travail journalistique hautement intéressant et professionnel.
    Vous mériter sûrement une des plus belles distinctions journalistiques…Aller, je vous décerne le prix Pulitzer….pour nous avoir donné ce plaisir de débusquer ce bandit de grands chemins… Touristiques et gastronomiques…

  • Reply beric 24 septembre 2012 at 15 h 55 min

    Déjà vu la famille Orliac débarquée dans le restaurant étoilé où je travaille et en effet, tout offert, l’article lui, est bref avec très peu de détails sur le déjeuner. c’est pas correct comme méthode! par ailleurs j’ai aussi vu des commerciaux (dans les palaces surtout) qui ont trop tendance à offrir à des pseudos journalistes (spécialisés parfois dans la mode, le sport ou les animaux!) des séjours “tout offert”…

  • Reply Sébastien 24 septembre 2012 at 17 h 28 min

    Donc, si l’on résume, le bonhomme se vante haut et fort de se faire inviter dans 350 restaurants par an, ainsi que dans 90 hôtels? Si l’on considère que les restaurants sont entre 30 et 100 euros, et les hôtels entre 60 et 200 euros, il reçoit donc entre 16000 et 53000 euros d’avantages en nature.
    J’espère pour lui qu’il les déclare, car le fisc pourrait bien s’intéresser à son cas, si ce n’est la police…

  • Reply marie 27 septembre 2012 at 1 h 52 min

    je pense que le meilleur moyen de le calmer passe par une petite pression fiscale sur ses bénéfices en nature. Mais tant qu’il y aura des restos pour jouer le jeu sans vérifier les CV des bonhommes, pourquoi ne tenterait-il pas le coup ?

  • Reply niarami 14 octobre 2012 at 3 h 58 min

    Vous avez bien fait de le remettre à sa place ! C’est un malin, son truc est bien pensé… C’en est bluffant mais heureusement qu’il y a des gens comme vous pour le remettre un peu les yeux en face des trous.

  • Reply Jean-Paul LUBOT (DG de Marie Claire) / Pierre Jancou de Vivant | Cuisiner En Ligne - Regardez et Cuisinez 24 octobre 2012 at 2 h 08 min

    […] l’affaire CHO, voici une nouvelle affaire impliquant le DG d’un groupe de presse. Histoire révélée par […]

  • Reply taratata 26 octobre 2012 at 10 h 27 min

    Idem, il a essayé a 3 reprises d’avoir une suite en gratuité pour 4 nuits dans mon hotel 4* pour lui , sa femme et son fils!!! et en pleine haute saison. Cette personne est audieuse, et prétend ecrire de magnifiques articles. Rien qu’a la longeur de ses articles, on est fatigué de lire la 1ere ligne. Que peut-on faire contre ce genre d’individus car le pire, c’est qu’il arrive a se faire inviter a dorrmir et a manger, lui et toute sa famille!!!

  • Reply djidji 15 novembre 2012 at 10 h 51 min

    J’amène enfin mon petit commentaire pour continuer sur cet énergumène plus que risible puisque suite à une relation, ce monsieur désirait avoir un vrai site internet (ça fait un peu plus crédible qu’un blogspot certes) et après avoir envoyé références / cv et devis, ce même monsieur a essayé d’endormir la bête en indiquant :
    – d’une part que nos références ne correspondaient pas à ce qu’il voulait (forcément un site de restauration n’a pas grand chose à voir avec un site d’assurance ou de chaussures)
    – et que d’autre part, il sous entendait d’avoir des éléments sur lesquels il pouvait parler à condition que ça bouge dans tous les sens (comprendre faites le boulot gratuitement et ensuite on verra ); donc grâce à votre site et la séquence audio, il ne nous a pas fallut beaucoup plus pour comprendre ce que ce monsieur attendait de nous… a savoir tout gratuit.
    Cela dit, il me semble qu’un fait similaire avec du décisionnaire de Marie-Claire a fait du buzz il n’y a pas si longtemps, non pas que la méthode soit cautionnable.

  • Reply Mars de Marseille 9 juillet 2013 at 10 h 37 min

    Ce type et sa tribu sont des escroc de première, mais que fait les services fiscaux français … je ne suis pas sur qu’il déclare l’ensemble des avantages en nature qu’il extorque au fil de ces torchons bourrés de fautes, qu’il ose appeler “Article”.
    Le mot article fonctionne avec la presse mais aussi dans article de lois !
    Je n’ai jamais dénoncé personne mais il faut un début à tout … régale toi bien Charles-Henry la bascule à Charlot te fait un coucou de la main !

  • Reply Marc de Passorio croqué par Charles Henri Orliac | Cuisiner En Ligne - Regardez et Cuisinez 2 septembre 2013 at 16 h 17 min

    […] vous en avais parlé dans cette note, je tenais à vous faire partager un message reçu il y a quelques jours, qui relate les nouvelles […]

  • Reply BERANGER CHRISTIAN 3 septembre 2013 at 8 h 42 min

    Comment des chefs talentueux peuvent se faire avoir par ce BALTRINGUE ..?.pour avoir travaillé 15 ans avec un chroniqueur gastronomique qui a des émissions a la télé,la radio,une chronique dans un hebdo nous avons toujours payés les repas que nous prenions pour l’émission de tété,nous étions 9 ….

  • Reply RASIDY SERGE 12 décembre 2013 at 17 h 08 min

    Tout simplement pour qu’une critique soit la plus objective possible il ne faut pas que le chef soit au courant de la venue de la personne qui vient le noter,sinon ce n’est pas du jeu lol.
    pour ce qui est des repas gratuits il y a des bénévoles qui en distribuent, mais c’est seulement l’hiver lol

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