L’appel de la Marine
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre fini sur l’infini des mers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir : coeurs légers semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Merci Mr Couillon Alexandre pour ce grand voyage, que cette Marine est GRANDE…