Par quel miracle, sortilège ou autre artifice cela a-t-il pu se produire : signature d’achat des lieux en janvier, officialisation de l’acquisition annoncee dans ce meme blog au 19 fevrier, sortie du Michelin le 24 février, ce ne sont pas 2* mais deux météores qui ont été décernées pour avoir réussi à aller aussi vite, à moins que M’ DROISNEAU n’ait pratiqué la street Fooding entre temps, histoire de pouvoir être visité plusieurs fois par les inspecteurs, puisque, paraît-il, telle est la règle pour les “grandes tables” pour lesquelles le critère de régularité tient une place majeure !!!
Ceci n’enlève rien aux qualités intrinsèques de ce chef manifestement forme dans les règles de l’art, mais si la cuisine parait déjà s’apprêter, il n’en est manifestement pas de même en matière de service, avec des fautes grossières absolument inadmissibles dans un établissement de ce niveau : menu dans lesquels manquent les entrées, Carte des Vins aux absences répétitivesnon annoncées initialement et bien maladroitement et vainement argumentées par une série d’explications emberlificotées et plus qu’approximatives, desserts attribués par erreur et enlevés sans un mot d’excuse.
Le soleil, le ciel et la mer ne peuvent pas tout pardonner !
Bonjour,
Depuis quand DIMITRI DROISNEAU est le chez de cette table déjà ?
ReplyL'épicurien Sudiste25 avril 2014 at 17 h 22 min
Stéphane,
Le chef est en place à la Villa Madie depuis Février 2013.
Monsieur “CHAUVET” alias Philippe De Cantenac, je vous pris donc de revoir vos quelques fiches sur le chef qui a tout le mérite d’avoir eu la deuxième étoile en Février 2014 après une année entière de travail intensif et de quelques visites concluantes de la part des inspecteurs (5 visites au total dont la directrice Michelin Europe).
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Par quel miracle, sortilège ou autre artifice cela a-t-il pu se produire : signature d’achat des lieux en janvier, officialisation de l’acquisition annoncee dans ce meme blog au 19 fevrier, sortie du Michelin le 24 février, ce ne sont pas 2* mais deux météores qui ont été décernées pour avoir réussi à aller aussi vite, à moins que M’ DROISNEAU n’ait pratiqué la street Fooding entre temps, histoire de pouvoir être visité plusieurs fois par les inspecteurs, puisque, paraît-il, telle est la règle pour les “grandes tables” pour lesquelles le critère de régularité tient une place majeure !!!
Ceci n’enlève rien aux qualités intrinsèques de ce chef manifestement forme dans les règles de l’art, mais si la cuisine parait déjà s’apprêter, il n’en est manifestement pas de même en matière de service, avec des fautes grossières absolument inadmissibles dans un établissement de ce niveau : menu dans lesquels manquent les entrées, Carte des Vins aux absences répétitivesnon annoncées initialement et bien maladroitement et vainement argumentées par une série d’explications emberlificotées et plus qu’approximatives, desserts attribués par erreur et enlevés sans un mot d’excuse.
Le soleil, le ciel et la mer ne peuvent pas tout pardonner !
A titre indicatif, les horaires attribues aux commentaires sont erronés et en égard de 6 h.
Bonjour,
Depuis quand DIMITRI DROISNEAU est le chez de cette table déjà ?
Stéphane,
Le chef est en place à la Villa Madie depuis Février 2013.
Monsieur “CHAUVET” alias Philippe De Cantenac, je vous pris donc de revoir vos quelques fiches sur le chef qui a tout le mérite d’avoir eu la deuxième étoile en Février 2014 après une année entière de travail intensif et de quelques visites concluantes de la part des inspecteurs (5 visites au total dont la directrice Michelin Europe).